Quels sont mes outils ?
Je peux vous proposer, selon vos besoins et votre état de santé, de travailler sur tout ou partie des axes suivants et avec les outils suivants :
C’est le socle de la santé.
L’exposome désigne la somme de toutes les expositions non génétiques auxquelles vous êtes soumise, votre « écologie globale ».
Cela comprend notamment la nourriture que vous mangez, l’eau que vous buvez, l’air que vous respirez, les produits chimiques auxquels vous êtes exposée, les liens sociaux que vous avez et l’environnement dans lequel vous vivez.
L’étude de vos expositions permet de mettre en évidence certains des facteurs qui contribuent à votre état de santé, et de déterminer quelles modifications d’hygiène de vie (rythme circadien, sommeil, exercice physique, alimentation, contact avec la nature, etc.) vous seront bénéfiques.
Le rééquilibrage de l’assiette et la micronutrition visent à équilibrer notre alimentation et à rechercher et corriger nos éventuels déficits en nutriments (les substances fournies par l’alimentation et utilisées par l’organisme pour sa construction et son fonctionnement) et notamment en micronutriments (les vitamines, minéraux, oligoéléments et phytonutriments).
L’importance de la richesse en nutriments de l’alimentation ne doit pas être minimisée.
En effet, quasiment tous les processus physiologiques qui se produisent dans le corps nécessitent des nutriments. Chaque nouvelle cellule de notre corps est formée à partir de nos aliments.
Ces nutriments, ou leur déficit, sont imbriqués dans chaque partie de notre corps – peau, cheveux, cerveau, hormones, cellules de l’immunité, etc.
Par exemple, la production et le fonctionnement des différentes hormones et des neurotransmetteurs, la détoxication, le contrôle de l’inflammation, la gestion du stress oxydatif, etc., sont dépendants du statut en nutriments.
Ces nutriments proviennent pour la plupart des aliments que nous mangeons, ou sont fabriqués par le corps à partir des nutriments que nous avons obtenu de notre nourriture, voire de compléments alimentaires lorsque c’est nécessaire.
Elle est déterminante, notamment car le système digestif :
– permet l’absorption des nutriments (nous aurions beau avoir une alimentation la plus riche en nutriments possible, s’ils ne sont pas absorbés par l’intestin nous pourrions malgré tout présenter des déficits) ;
– produit la majorité des neurotransmetteurs du corps (sérotonine, etc.). L’intestin est parfois nommé « le deuxième cerveau », il envoie plus de messages au cerveau que le cerveau ne lui en envoie ;
– comprend les 2/3 du système immunitaire, et donc influence, entre autres, notre état inflammatoire ;
– a une activité métabolique plus importante que celle du foie ;
– abrite le microbiome intestinal, qui contient 100 à 150 fois plus de gènes que le génome humain, et dont les déséquilibres ont été reliés à quasiment toutes les maladies chroniques qui existent.
L’influence du stress sur notre santé est de mieux en mieux connue.
Nous savons maintenant que si des stress brefs sont bénéfiques, en stimulant les capacités du corps à faire face aux difficultés, il en va autrement des états où le stress est prolongé, ou chronique.
En effet, ce qui se passe dans notre corps en réponse au stress ne se limite pas à notre réaction émotionnelle. Notre physiologie est également impactée par nos niveaux d’hormones du stress (cortisol, adrénaline), qui influencent nos globules blancs, nos cellules de l’immunité, notre utilisation de l’insuline et du sucre, etc.
Les conséquences peuvent ainsi être des troubles de l’immunité, des hormones ou du fonctionnement neuropsychique.
C’est une méthode de soins qui a recours aux plantes en vue de guérir ou de soulager des affections bénignes.
Les plantes médicinales sont principalement utilisées sous forme de tisanes, d’extraits liquides, comme les teintures, ou de gélules.
Traditionnellement, les plantes ont été utilisées pour se soigner dans toutes les cultures à travers le monde. De nos jours, dans de nombreux pays, les plantes continuent à être les premiers produits de soins.
Actuellement, l’usage des plantes médicinales se justifie, selon les plantes, par :
– des études cliniques
– un usage médical bien établi
– l’usage traditionnel
– parfois, comme par exemple dans un but de prévention du cancer, quand il n’y a pas d’études cliniques ni d’usage traditionnel, on peut s’appuyer sur les études expérimentales et la notion de plausibilité biologique.
Selon vos besoins, je peux vous proposer de travailler sur des axes plus spécifiques, par exemple :
– équilibrations hormonales : hormones du métabolisme (insuline, etc.), hormones du stress (cortisol), hormones thyroïdiennes, hormones féminines (œstrogènes, progestérone), etc.,
– soutien du système immunitaire et à l’état inflammatoire, aux capacités de détoxication du corps, à la gestion du stress oxydatif, à l’activité des mitochondries, etc.
Dans le cadre de votre prise en charge, je peux ainsi être amenée à vous conseiller des bilans spécialisés, ainsi que des compléments nutritionnels ou de phytothérapie, qui ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie, mais qui restent pertinents sur le plan scientifique ou traditionnel.
Les bilans spécialisés ne sont pas obligatoires, même si parfois conseillés. Si vous ne souhaitez pas ou ne pouvez pas les réaliser, nous pouvons toujours avancer et trouver des solutions. Par contre, la prise de compléments nutritionnels et/ou de phytothérapie est souvent nécessaire pour avancer, et reste à votre charge. Plus vous modifierez votre assiette, et votre mode de vie, moins vous en aurez besoin.